L’état de santé ne concerne pas uniquement la protection des collaborateurs de situation à risques, mais également la recherche d’un état de bien-être général, aussi appréhendé sous le prisme de la Qualité de vie au travail (QVT).
Selon l’ANACT, la santé et la qualité de vie au travail renvoient à de multiples dimensions : contenu du travail, son organisation, les possibilités de réalisation et de développement, les relations au travail, l’utilité du travail pour le collaborateur, l’environnement physique.
Pour favoriser la santé des collaborateurs, l’entreprise peut donc mettre en place de nombreux dispositifs pour améliorer les conditions de travail avec par exemple un environnement ergonomique et des horaires flexibles.
De plus, l’employeur peut promouvoir la santé mentale en offrant des formations sur la gestion du stress, en encourageant les pauses, et en équilibrant la charge de travail. Ces mesures contribuent à un meilleur bien-être et à une productivité accrue.
Pour préserver l’état de santé au travail, il est également nécessaire que plusieurs acteurs se coordonnent : la direction générale et le management, les responsables ressources humaines, les médecins du travail, les membres du Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) et les salariés eux-mêmes.
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