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Ça tourne !
Béatrice Bretegnier
- Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Béatrice Bretegnier, j’ai 56 ans, et je suis créatrice du cabinet BtoB Consulting RH
- Pourquoi l’inclusion ?
Ce sujet là il m’intéresse depuis que je suis toute petite finalement je me rends compte, parce que j’ai été élevée dans une famille qui était très diverse et très inclusive, même si on utilisait pas du tout ces mots-là.
Et puis ensuite, quand j’ai commencé à travailler, j’ai travaillé dans les ressources humaines dans des grands groupes.
Dans l’entreprise dans laquelle j’ai travaillé il y’a presque 20 ans maintenant, on avait par exemple une vraie problématique pour recruter des techniciens ascensoristes. Donc on a décidé de créer une formation et de créer un apprentissage avec des femmes très éloignées de l’emploi, et ensuite, elles ont été recrutées. Ce qui était très important je crois, c’était que ce soit visible. Des femmes techniciennes ascensoristes il y en avait juste une dizaine, c’était très visible.
- L’inclusion en entreprise ?
Quel que soit leur taille : PME ou gros groupe, je trouve que cette prise de conscience elle est vraiment de plus en plus importante. Ça avance. Et finalement, j’ai tendance à dire que je ne comprends pas vraiment pourquoi il y a des entreprises qui ont du mal à y aller. Mon rôle c’est d’arriver aussi à les convaincre. C’est tellement évident aujourd’hui que les entreprises vont augmenter leurs performances, leur créativité avec de l’inclusion, avec une politique inclusive, que je pense qu’il faut y aller, c’est tout.
- Mon Entreprise Inclusive ?
Je trouve que c’est super utile, parce que ça regroupe en un seul endroit des tas d’informations sur la diversité et l’inclusion : des études, des articles, des interviews, également aussi plein de bonnes pratiques qui peuvent se passer dans différentes entreprises, ou que des personnes ont pu mener.
Donc je trouve que c’est une initiative du Groupe APICIL qui est vraiment extrêmement utile.
- Des conseils aux entreprises ?
Il me semble qu’il y a 2 points très importants. Le premier point, c’est l’acceptation. L’acceptation qu’on a tous et toutes finalement une diversité en nous, une singularité, donc la diversité c’est un fait, on est tous et toutes issus de la diversité. Et puis, l’inclusion, ça doit être une volonté, ça doit être un choix. Et ça c’est le plus important, c’est-à-dire que ce n’est pas absolument pas naturel l’inclusion.
Ensemble, faisons bouger les lignes !
Découvrez l’interview de Béatrice Bretegnier, créatrice du cabinet BtoB Consulting RH.
Pourquoi l’inclusion ?
Ce sujet là m’intéresse depuis petite. Parce que j’ai été élevée dans une famille qui était très diverse et très inclusive, même si on n’utilisait pas ces mots-là. Et puis ensuite, quand j’ai commencé à travailler, j’ai travaillé dans les ressources humaines dans des grands groupes. Dans l’entreprise dans laquelle j’ai travaillé il y’a presque 20 ans maintenant, on avait par exemple une vraie problématique pour recruter des techniciens ascensoristes. On a décidé de créer une formation et un apprentissage avec des femmes éloignées de l’emploi, qui ont été recrutées. Ce qui était très important je crois, c’était que ce soit visible. Des femmes techniciennes ascensoristes il y en avait juste une dizaine, c’était très visible.
Et l’inclusion en entreprise ?
Quel que soit leur taille : PME ou grand groupe, je trouve que cette prise de conscience est vraiment importante. Ça avance. Finalement, j’ai tendance à dire que je ne comprends pas vraiment pourquoi il y a des entreprises qui ont du mal à y aller. Mon rôle c’est d’arriver aussi à les convaincre. C’est tellement évident aujourd’hui que les entreprises vont augmenter leurs performances, leur créativité avec une politique inclusive.
Des conseils à apporter aux entreprises ?
Il me semble qu’il y a 2 points très importants. Le premier point, c’est l’acceptation. Une diversité en nous, une singularité, la diversité c’est un fait, on est tous et toutes issus de la diversité. Et puis, l’inclusion, ça doit être une volonté, ça doit être un choix. Et ça c’est le plus important, c’est-à-dire que ce n’est pas absolument pas naturel l’inclusion.